Trail des Citadelles
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Fion-Fion
L'alchimiste
Soutanas
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Trail des Citadelles
Première course de l'année, premier passage en Ariège (même si ça n'est pas sur les grandes hauteurs)
Il paraît qu'il faut aimer la boue...
Il paraît qu'il faut aimer la boue...
Soutanas- forummer
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Re: Trail des Citadelles
Inscription validée, dossard 249 !!! ya plus qu'à
Avec un peu de chance, on aura de la neige !!
Avec un peu de chance, on aura de la neige !!
Soutanas- forummer
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Re: Trail des Citadelles
Julien Chorier (Hard Rock 2011) et Oscar Perez (GRP 160 2011) sur la ligne de départ ?????
Encore un podium qui s'éloigne...
Encore un podium qui s'éloigne...
Soutanas- forummer
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Re: Trail des Citadelles
Les deux passages typiques des Citadelles...Magnifiques !
Vivement Dimanche...
Vivement Dimanche...
Soutanas- forummer
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Re: Trail des Citadelles
Hé bé les amis...
Après avoir passé 13h35 à me dépatouiller dans la bouillasse ariégoise, j'ai pu franchir la ligne bien content d'en finir !!!
Le Cr très vite.
Après avoir passé 13h35 à me dépatouiller dans la bouillasse ariégoise, j'ai pu franchir la ligne bien content d'en finir !!!
Le Cr très vite.
Soutanas- forummer
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Re: Trail des Citadelles
YYYYYYYEEEEEEEESSSSSSSSSSS IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
C'est bon ça!!!
Je pense que tu an as pris plein les yeux...
Félicitations!
C'est bon ça!!!
Je pense que tu an as pris plein les yeux...
Félicitations!
Re: Trail des Citadelles
J'en ai surtout pris plein les godasses !
Le ciel nous promettait un temps encourageant une nouvelle fois cette année. Mais il est de coutume aux Citadelles d'attendre jusqu'au dernier moment pour se prononcer sur la météo. Samedi en fin de journée, des trombes d'eau s'abattent sur Lavelanet et la Terre de Belesta se délecte de cette offrande tant attendue. Pas moi.
17h le samedi, dossard en poche, on (je suis descendu avec trois kikoureurs) traîne dans le village départ, puis direction le gîte à Montferrier. Rustique, simple et convivial. Le tracé longe d'ailleurs le bâtiment pour la deuxième partie du parcours. En cas de pépin, au moins, je saurai où m'arrêter.
19h30, direction la pasta party, traditionnelle. L'ambiance est sympa même si la salle n'est qu'à moitié pleine, et les bandas peinent à enflammer la piste ! La pluie tombe toujours sans discontinuer jusqu'au petit matin.
5h40 le dimanche, on file sur la ligne de départ.
Lavelanet - Belesta : 18 km 2h22 de course
6h, début des hostilités. Je pars tranquillement en fond de grille. Après la mésaventure des Hospitaliers et le mois de mars catastrophique, je n'ai qu'un objectif, aller au bout. J'ai 14h maxi pour avaler les 73 km et 3600 m de D+.
Et comme prévu, le terrain est gras. 20 minutes de course et bing, première pelle. Je marche en fixant un truc sur le sac et je tombe dans un trou de fossé. Chapeau l'artiste ! Heureusement que le fond était souple...J'enchaîne avec la première montée, ça glisse à fond. Inutile de chercher à doubler, il n'y a pas de place. Sortie de forêt, sur la crête de Madoual, on a une superbe vue sur le château de Montségur qu'il faudra rejoindre dans 30 km. Mais avant, on a un gros détour à faire !! On longe la crête de Labajounière avant de rejoindre le Col des Balussous puis le Col du Figuier. On se balade entre 800 et 900m d'altitude.
On attaque ensuite une belle descente vers Fougax pour rattraper le GR du Pays d'Olmes dans la vallée jusqu'à Belesta (ravito du 18ème km).
Jusque là tout va bien. J'ai repris les 2 coureurs avec lesquels j'étais parti. On se trouve au ravito (soupe coca saucisson fromage, tout ce que j'aime ) à quelques minutes d'intervalle. Benoît ne s'attarde pas. Moi, j'attends David et on repart ensemble pour le secteur suivant.
Belesta - Fougax : 16km 4h59 de course
Le replat après le ravito est de courte durée. 400m de dénivelé sur environ 6km, toujours dans la boue, pour atteindre Le Gélat, avec quelques énormes patates dans la glaise, puis on redescend irrégulièrement sur Fougax, de l'autre côté de la rivière. La descente est sympa (Je dis peut-être ça parce que je cours ?) mais boueuse (déjà dit ?).
Dès qu'on atteint le goudron, qu'il faut relancer, là je suis nettement moins à l'aise. Donc je marche-course, histoire de rompre la monotonie et d'aller plus vite (même si je ne dois pas gagner grand chose). En entrant au ravito avec David, je vois Benoît qui en ressort. On ne reste pas trop longtemps. Je n'ai pas de crampes pour une fois (!) mais les jambes déjà lourdes. 1h d'avance sur les barrières horaires, tout va bien de ce côté là.
Fougax - Montségur - Montferrier : 13 km 8h04 de course
On repart doucement sur le plat et on attaque la montée au premier château cathare. 600m de D+ avec ???????? de la boue bien sûr. Le début du chemin est un vrai mur qui me fait très mal. Ce sera difficile ensuite de reprendre un rythme correct. Cette marche d'approche me semble interminable. Je n'ai pas spécialement mal, mais je me sens fatigué. David est un peu derrière. Je décide de faire un stop dès la première étendue d'herbe en vue. Petite sieste de 20 minutes ou plus, je ne sais pas trop, au soleil, face à la vallée. A ce moment-là, le moral n'est pas au top. "Quelle idée de continuer à faire des courses pareilles ? comment est-ce que je peux ne serait-ce qu'imaginer un jour faire plus long ?..." Je me pose trop de questions, il est temps de repartir. D'autant que je n'entends plus beaucoup de coureurs et que ça sent la fin de peloton. Au pied de Montségur, changement de terrain. Montée sèche et caillouteuse. Je ne monte pas bien vite mais ça me semble moins difficile que la boue. Vu de l'intérieur, la ruine n'a plus rien d'exceptionnel. Seul le panorama est grandiose. Un peu de noix un coup à boire et je redescends vers Montferrier. 5 km à courir dans la boue. Je m'amuse et je me laisse aller. Le plaisir revient en doublant !! Pas grand monde d'accord mais quand même. J'arrive au ravito à 14h, j'ai toujours une heure de marge...
Montferrier - Roquefixade - Roquefort les Cascades : 14 km 10h59 de course
Les jambes sont toujours lourdes, évidemment, et on ré-attaque direct par une montée. Heureusement sans boue. Sans trop de jus, je monte à mon rythme, en m’accrochant un peu aux trailers qui sont repartis avec moi. Encore 3 montées sèches avant le château de Roquefixade. L'arrivée à ce village se fait par la route goudronnée. Ah si seulement j'avais les cannes pour courir ici. Ok ça monte un peu, mais qu'est-ce que je perds comme temps. Je suis en compagnie d'un coureur toulousain un peu à bout, qui n'a plus le moral et répète (trop) souvent qu'il va abandonner. Au pied du château, je le laisse assis sur sa pierre et j'attaque la montée qui me mène sur la crête au dessus du château. C'est la plus belle image de la course. Le vent et la pluie se sont invités. Il faut maintenant redescendre sans perdre de temps sur le prochain pointage. Dès que ça redescend, je me remets à courir. Je double à nouveau. Je sais que je vais me faire redoubler sur le plat suivant, alors j'en profite maintenant . J'arrive au ravito à 16h59, 16 minutes avant la barrière horaire !!! Là j'ai une petite inquiétude, mais les bénévoles sont rassurants, et le kilométrage restant aussi.
Roquefort les Cascades - Raissac - Lavelanet : 12 km, 13h35 de course
Ça démarre très fort : 200m après le ravito, les nausées surviennent. Soupe orange coca, tout est reparti sur le bord du chemin. Mais je ne me sens pas à bout comme la dernière fois, donc j'ai l'espoir de finir. Je me réhydrate tout de suite et ça passe. Je ne tournerai plus qu'à l'eau jusqu'à l'arrivée. Cette portion est d'abord un long plat qui doit ravir les coureurs...pas moi. J'essaye marche-course mais les crampes arrivent de suite. Ce sera donc marche rapide (merci les bâtons). Le chemin s'élève un peu et j'ai un trailer en point de mire. Je le rattrape et on reste ensemble dans la montée vers Raissac, dernière barrière de la course. On y passe avec 24 minutes d'avance. Plus qu'un dernier gros morceau à avaler...et quel morceau ! 300 m de D+ dré dans le pentu !! La tête dans le bocal, le nez sur les chaussures, je monte, monte, monte. J'attends le collègue en haut pour la crête finale. Il marche bien, j'ai de la peine à le suivre. Il m'attendra avant la dernière descente. Sympa. Un dernière glissade dans la boue (!) et la descente avec la corde. Retour sur le bitume, 150 à petite allure et on franchit la ligne. Une petite photo et je file direct au repas d'après course où les gars doivent m'attendre. Dans la salle, les premiers coureurs que je croise m'incite à manger : je suis blanc comme un linge. Ça ne m'étonne pas trop. Mais mogettes saucisses, là ça ne va pas le faire. J'essaye de l'eau et un peu de sucré sans conviction.
10 Minutes plus tard, nouvelles nausées. Bon, un petit passage du médecin et ça se réglera doucement dans la soirée.
Au final, je suis content d'avoir fini ce défi, même si je me demande si je ne devrais pas raccourcir la distance. Est-ce que le plaisir de finir des ultras en étant un peu à la ramasse est supérieur à celui de faire une course pleine sur 40 ou 50 km maxi ?? Evidemment, dans quelques jours ou semaines, je changerai sûrement d'avis...
Le ciel nous promettait un temps encourageant une nouvelle fois cette année. Mais il est de coutume aux Citadelles d'attendre jusqu'au dernier moment pour se prononcer sur la météo. Samedi en fin de journée, des trombes d'eau s'abattent sur Lavelanet et la Terre de Belesta se délecte de cette offrande tant attendue. Pas moi.
17h le samedi, dossard en poche, on (je suis descendu avec trois kikoureurs) traîne dans le village départ, puis direction le gîte à Montferrier. Rustique, simple et convivial. Le tracé longe d'ailleurs le bâtiment pour la deuxième partie du parcours. En cas de pépin, au moins, je saurai où m'arrêter.
19h30, direction la pasta party, traditionnelle. L'ambiance est sympa même si la salle n'est qu'à moitié pleine, et les bandas peinent à enflammer la piste ! La pluie tombe toujours sans discontinuer jusqu'au petit matin.
5h40 le dimanche, on file sur la ligne de départ.
Lavelanet - Belesta : 18 km 2h22 de course
6h, début des hostilités. Je pars tranquillement en fond de grille. Après la mésaventure des Hospitaliers et le mois de mars catastrophique, je n'ai qu'un objectif, aller au bout. J'ai 14h maxi pour avaler les 73 km et 3600 m de D+.
Et comme prévu, le terrain est gras. 20 minutes de course et bing, première pelle. Je marche en fixant un truc sur le sac et je tombe dans un trou de fossé. Chapeau l'artiste ! Heureusement que le fond était souple...J'enchaîne avec la première montée, ça glisse à fond. Inutile de chercher à doubler, il n'y a pas de place. Sortie de forêt, sur la crête de Madoual, on a une superbe vue sur le château de Montségur qu'il faudra rejoindre dans 30 km. Mais avant, on a un gros détour à faire !! On longe la crête de Labajounière avant de rejoindre le Col des Balussous puis le Col du Figuier. On se balade entre 800 et 900m d'altitude.
On attaque ensuite une belle descente vers Fougax pour rattraper le GR du Pays d'Olmes dans la vallée jusqu'à Belesta (ravito du 18ème km).
Jusque là tout va bien. J'ai repris les 2 coureurs avec lesquels j'étais parti. On se trouve au ravito (soupe coca saucisson fromage, tout ce que j'aime ) à quelques minutes d'intervalle. Benoît ne s'attarde pas. Moi, j'attends David et on repart ensemble pour le secteur suivant.
Belesta - Fougax : 16km 4h59 de course
Le replat après le ravito est de courte durée. 400m de dénivelé sur environ 6km, toujours dans la boue, pour atteindre Le Gélat, avec quelques énormes patates dans la glaise, puis on redescend irrégulièrement sur Fougax, de l'autre côté de la rivière. La descente est sympa (Je dis peut-être ça parce que je cours ?) mais boueuse (déjà dit ?).
Dès qu'on atteint le goudron, qu'il faut relancer, là je suis nettement moins à l'aise. Donc je marche-course, histoire de rompre la monotonie et d'aller plus vite (même si je ne dois pas gagner grand chose). En entrant au ravito avec David, je vois Benoît qui en ressort. On ne reste pas trop longtemps. Je n'ai pas de crampes pour une fois (!) mais les jambes déjà lourdes. 1h d'avance sur les barrières horaires, tout va bien de ce côté là.
Fougax - Montségur - Montferrier : 13 km 8h04 de course
On repart doucement sur le plat et on attaque la montée au premier château cathare. 600m de D+ avec ???????? de la boue bien sûr. Le début du chemin est un vrai mur qui me fait très mal. Ce sera difficile ensuite de reprendre un rythme correct. Cette marche d'approche me semble interminable. Je n'ai pas spécialement mal, mais je me sens fatigué. David est un peu derrière. Je décide de faire un stop dès la première étendue d'herbe en vue. Petite sieste de 20 minutes ou plus, je ne sais pas trop, au soleil, face à la vallée. A ce moment-là, le moral n'est pas au top. "Quelle idée de continuer à faire des courses pareilles ? comment est-ce que je peux ne serait-ce qu'imaginer un jour faire plus long ?..." Je me pose trop de questions, il est temps de repartir. D'autant que je n'entends plus beaucoup de coureurs et que ça sent la fin de peloton. Au pied de Montségur, changement de terrain. Montée sèche et caillouteuse. Je ne monte pas bien vite mais ça me semble moins difficile que la boue. Vu de l'intérieur, la ruine n'a plus rien d'exceptionnel. Seul le panorama est grandiose. Un peu de noix un coup à boire et je redescends vers Montferrier. 5 km à courir dans la boue. Je m'amuse et je me laisse aller. Le plaisir revient en doublant !! Pas grand monde d'accord mais quand même. J'arrive au ravito à 14h, j'ai toujours une heure de marge...
Montferrier - Roquefixade - Roquefort les Cascades : 14 km 10h59 de course
Les jambes sont toujours lourdes, évidemment, et on ré-attaque direct par une montée. Heureusement sans boue. Sans trop de jus, je monte à mon rythme, en m’accrochant un peu aux trailers qui sont repartis avec moi. Encore 3 montées sèches avant le château de Roquefixade. L'arrivée à ce village se fait par la route goudronnée. Ah si seulement j'avais les cannes pour courir ici. Ok ça monte un peu, mais qu'est-ce que je perds comme temps. Je suis en compagnie d'un coureur toulousain un peu à bout, qui n'a plus le moral et répète (trop) souvent qu'il va abandonner. Au pied du château, je le laisse assis sur sa pierre et j'attaque la montée qui me mène sur la crête au dessus du château. C'est la plus belle image de la course. Le vent et la pluie se sont invités. Il faut maintenant redescendre sans perdre de temps sur le prochain pointage. Dès que ça redescend, je me remets à courir. Je double à nouveau. Je sais que je vais me faire redoubler sur le plat suivant, alors j'en profite maintenant . J'arrive au ravito à 16h59, 16 minutes avant la barrière horaire !!! Là j'ai une petite inquiétude, mais les bénévoles sont rassurants, et le kilométrage restant aussi.
Roquefort les Cascades - Raissac - Lavelanet : 12 km, 13h35 de course
Ça démarre très fort : 200m après le ravito, les nausées surviennent. Soupe orange coca, tout est reparti sur le bord du chemin. Mais je ne me sens pas à bout comme la dernière fois, donc j'ai l'espoir de finir. Je me réhydrate tout de suite et ça passe. Je ne tournerai plus qu'à l'eau jusqu'à l'arrivée. Cette portion est d'abord un long plat qui doit ravir les coureurs...pas moi. J'essaye marche-course mais les crampes arrivent de suite. Ce sera donc marche rapide (merci les bâtons). Le chemin s'élève un peu et j'ai un trailer en point de mire. Je le rattrape et on reste ensemble dans la montée vers Raissac, dernière barrière de la course. On y passe avec 24 minutes d'avance. Plus qu'un dernier gros morceau à avaler...et quel morceau ! 300 m de D+ dré dans le pentu !! La tête dans le bocal, le nez sur les chaussures, je monte, monte, monte. J'attends le collègue en haut pour la crête finale. Il marche bien, j'ai de la peine à le suivre. Il m'attendra avant la dernière descente. Sympa. Un dernière glissade dans la boue (!) et la descente avec la corde. Retour sur le bitume, 150 à petite allure et on franchit la ligne. Une petite photo et je file direct au repas d'après course où les gars doivent m'attendre. Dans la salle, les premiers coureurs que je croise m'incite à manger : je suis blanc comme un linge. Ça ne m'étonne pas trop. Mais mogettes saucisses, là ça ne va pas le faire. J'essaye de l'eau et un peu de sucré sans conviction.
10 Minutes plus tard, nouvelles nausées. Bon, un petit passage du médecin et ça se réglera doucement dans la soirée.
Au final, je suis content d'avoir fini ce défi, même si je me demande si je ne devrais pas raccourcir la distance. Est-ce que le plaisir de finir des ultras en étant un peu à la ramasse est supérieur à celui de faire une course pleine sur 40 ou 50 km maxi ?? Evidemment, dans quelques jours ou semaines, je changerai sûrement d'avis...
Dernière édition par Soutanas le Mar 10 Avr - 19:09, édité 1 fois
Soutanas- forummer
- Messages : 550
Date d'inscription : 04/05/2008
Re: Trail des Citadelles
Félicitations !!!
Jolie Cr, mais comment fais tu pour te rappeler de tout ça ?? tu notes au fur et à mesure ou quoi??
quand je serais grand j’essaierai aussi ce genre de joli dossier...
Jolie Cr, mais comment fais tu pour te rappeler de tout ça ?? tu notes au fur et à mesure ou quoi??
quand je serais grand j’essaierai aussi ce genre de joli dossier...
Fion-Fion- forummer
- Messages : 86
Date d'inscription : 08/11/2011
Re: Trail des Citadelles
Félicitations!!!!
Encore une autre épreuve de fou a ton actif. C'est quoi le prochain exploit.
Moi non plus Fion Fion je ne sais pas comment ils font pour faire de tel CR.
Encore une autre épreuve de fou a ton actif. C'est quoi le prochain exploit.
Moi non plus Fion Fion je ne sais pas comment ils font pour faire de tel CR.
Steph- forummer
- Messages : 50
Date d'inscription : 14/03/2010
Re: Trail des Citadelles
chapeau bas l'ami car tu as l'air d'en avoir bavé un brin.
Rien de plus difficile que la boue qui alourdie chaque pas de quelques centaines de grammes. Objectif atteint c'est çà qui est bon.
T'inquiète on se pose tous ces questions, mais on finit toujours par y retourner
FELICITATIONS
Rien de plus difficile que la boue qui alourdie chaque pas de quelques centaines de grammes. Objectif atteint c'est çà qui est bon.
T'inquiète on se pose tous ces questions, mais on finit toujours par y retourner
FELICITATIONS
tikka +- forummer
- Messages : 220
Date d'inscription : 10/10/2008
Age : 45
Re: Trail des Citadelles
YYEEESSS IIIII
Bien joué l'ami... mais la boue, c'est bon pour la peau, donc c'est tout bénef.
Quant à faire plus long... bien sûr que si, on est tous pareil
Bien joué l'ami... mais la boue, c'est bon pour la peau, donc c'est tout bénef.
Quant à faire plus long... bien sûr que si, on est tous pareil
Re: Trail des Citadelles
Bravo Xav, toutes mes félicitations pour ce bel effort dans le gras !!!
Bonne récuperation
Bonne récuperation
_________________
Le Marchand- Admin
- Messages : 645
Date d'inscription : 04/05/2008
Re: Trail des Citadelles
c'est bien tard que je viens lire ton CR : bravo Xav, même si l'effort fourni ne donne pas toujours très envie de faire pareil.....
mais certains diront qu'on y revient toujours et qu'on a envie d'en faire plus.....
Franck, tu te demandes comment Xav a fait pour retenir autant de détails sur les dénivelés, les distances... J'ai moi-même beaucoup d'admirations pour ces paraboles d'informations tout au long du parcours. Mais sache que tu n'as jamais lu un seul CR de Dave, parce que là, c'est carrément la bible du CR...
mais certains diront qu'on y revient toujours et qu'on a envie d'en faire plus.....
Franck, tu te demandes comment Xav a fait pour retenir autant de détails sur les dénivelés, les distances... J'ai moi-même beaucoup d'admirations pour ces paraboles d'informations tout au long du parcours. Mais sache que tu n'as jamais lu un seul CR de Dave, parce que là, c'est carrément la bible du CR...
vilcoyote- forummer
- Messages : 207
Date d'inscription : 20/11/2008
Age : 49
Localisation : parcé sur sarte
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